Good Lord ! J'ai bien cru ne jamais arriver à temps ! C'est de plus en plus compliqué le circulation à Saint-Étienne... Depuis que j'ai installé ici, le ville n'a pas arrêté de grandir. Il y a toujours plus de gens et de chevals !
Le quiétude de la mer manque... Well, let's go pour quatre heures de train... Oh it's raining cats and dogs ! Heureusement que je n'ai pas pris les places en impérial ! Comment ils disent déjà ici ?
Ah oui « il pleut comme une vache qui urine », enfin quelque chose comme ça. J'aime bien quand il pleut. Ça change de ce chaleur étouffante qu'il y a des fois.
Well well well, pourquoi le train ne part pas ? Si je suis en retard à mon rendez-vous à Lyon ça n'est pas très sérieux. Si je suis en retard, le banquier va croire que je vais rembourser mon crédit en retard aussi et ce sera fini !
Et avec mon mauvais français de britannique ça va être le catastrophe, comme avec ce petite géomètre énervé de le mine qui était impossible... Such a yob ! Ah !!!! Voilà il démarre enfin !
C'est Maggie qui était toujours effrayée. Sweet Maggie... Quand elle prenait le train ou le bateau c’était toujours dramatique. Je crus qu'elle ne pourrait pas supporter le voyage de l'Angleterre jusque ici.
D'ailleurs je ne sais où est ce joli chapeau que j'avais acheté pour la féliciter du son courage. Un chapeau en ? God sake, « silk », what's the french word ? Ah oui « soie » ! un joli chapeau tout en soie !
Elle était si heureuse... C'est comme ce eustache que Mme Peyret-Neyron avait offert à moi, depuis plusieurs jours, je ne peux le trouver... Forgetful I am...
Look petite fille, ce épingle à cravate c'est mon porte bonheur. Elle est belle n'est-il pas ? J'ai commandé à Paris. Elle est fait en or et en acier. L'acier c'est pour symboliser ma compagnie,
car je suis maître de forge et l'or c'est pour expecter qu'elle rapporte des sous. Et here, ces décors en or, c'est pour me rappeler ma chère Angleterre, c'est les chevals du Parthénon à le British museum.... Oh bah...
Pourquoi est-elle pleurante ce petite fille, elle a une panic attack ou quoi ! Pfff la France est compliquée...
Remettre en ordre le vêtement de Samuel en piquant son épingle à cravate.
Je ne jamais serais venu si je n'avais pas reçu ce maudite lettre, pour sûr... Elle est arrivée plusieurs semaines après que papa est mort. Ce bon vieux James Jackson qui exprimait ses condoléances.
James The Hothead comme papa avait l'habitude de l'appeler. Vrai qu'il fallait pas avoir froid à l'oeil de venir dans la France du petit fou de Napoléon, damn dictator that lad !
Pourtant... Le vieux Jackson n'avait pas hésité de partir quand la France était cherchante de gens qualifiés pour construire des aciéries. Papa parlait à propos de ça tout le temps, il ne pouvait pas croire ça. « The Hothead a frenchman ! ».
Papa était un typique produit de Grande-Bretagne, il a essayé de retenir Jackson, mais financièrement, The Hothead ne pouvait plus. Trop de maître de forge dans Birmingham, pas assez de commandes en acier, no choice.
Jackson parti, papa et lui jamais ne se sont parlés à nouveau et James est devenu « The Hothead traitor ». But, absent, Jackson était plus présent que avant. Il hauntait chaque conversation du mon vieux père et, jeune garçon, je commençais à détester France.
Mais grandissant j'ai compris. The Hothead était pas un traître de la mère-patrie, il était un traître à la amitié, papa avait perdu un frère et il ne pouvait pas pardonner.
Dans sa longue lettre, the Hothead était secoué. Papa toujours était dans son esprit. Il s'excusait pour son départ, en même temps qu'il expliquait qu'il était nécessaire pour le futur de ses fils,
il racontait comment il apprit à les français la technique de l'acier fondu au creuset et comment le perte de sa femme était terrible.
Aider James à verser l'acier fondu au creuset dans la lingotière
Faites glisser l'acier fondu vers le bas
Vous avez coulé l'acier fondu au creuset. James the hothead a enseigné son savoir-faire aux stéphanois.
And here I am, maître de forge moi aussi, veuf moi aussi, tandis que Jackson est enterré en Angleterre. Par chance il y avait ses fils et surtout les Peyret-Neyron. Si ils avaient pas été ici, je ne sais comment j'aurais poursuivi.
Lui c'est une artiste, ses dessins sont tellement délicats... Toutes les choses que je connais de ce langue et ce pays je le dois à lui. Et elle... A force of nature ce femme ! Une vraie businesswoman !
Elle est celle qui a trouvé une nanny pour mon dernier enfant, mon petit James, comme Jackson. Et, sans eux, je n'avais jamais rencontré Juliette.
Maggie, elle, n'était pas un soleil. Elle était pas joyeuse, pas sucrée. Mais elle était si intense. J'avais la impression elle pouvait attraper mes plus secrètes pensées, comprendre mes plus cachés sentiments.
Quand elle parta donnant naissance de notre second enfant, tout ce que j'étais disparut. Ma jeunesse parta avec elle, dans ce lit. C'était juste après que nous sommes arrivés à Saint-Étienne et j'ai haï ce ville avec toute ma puissance.
J'ai détesté enterrer elle ici, dans ce pays de « papists » as she said.
Maggie portait avec elle sa bible anglicane partout. Elle expliquait à moi que c'était son vrai boussole, que la parole de Dieu était le meilleur façon pour jamais être perdu. Aujourd'hui, c'est moi celui qui ne peut pas sortir dehors sans ce livre.
Je nécessite de les sentir près de moi, avec moi, Maggie, Angleterre, papa, tout ce vie qui n'est plus mienne maintenant, ce vie qui s'est attachée dedans ces pages... Sans ce bible je serais apeuré de perdre le mémoire.
Ah ! Ici nous voilà ! Proches de Génilac. Peut-être à ce moment elle regarde le train, la ancienne nourrice de James... Une gentille fille, beaucoup différente de la nanny de Scott et Claude. So dirty this one... Mes pauvres enfants...
J’espère je ne pas leur laisser autant de dettes que papa avait laissé à moi... Je ne suis pas inquiet pour Ann, elle sera mariée bientôt. Mais Scott, Claude et James, le temps viendra ils reprendront la compagnie, ils devront faire elle fonctionner...
D'ailleurs.. Where... où est this bloody paper, ai-je oublié ? Non, là il est ! Sans ce action ma demande de prêt est terminée. Anyway... Est-ce utile... Investir constantly... Dans l'acier, dans le mine et pourquoi pas le ruban bientôt ?
Construire des nouveaux fourneaux, c'est beaucoup d'argent à trouver, beaucoup des risques à prendre, beaucoup de l'énergie à dépenser mais la vie est si courte, n'est-il pas ?
Et puis : « experience always wins the day » : les vieux techniques sont les meilleurs. Mais il y a mes garçons... Je ne sais quoi je dois faire...
God... J’ai l’impression d’avoir 100 ans... Je n’en suis pas loin d’ailleurs ! Je suis tout de même arrière-grand-père ! Samuel, stop it now ! Ce petit Samuel, quelle énergie ! Il faut toujours le surveiller, mais je l’aime tant,
je suis tellement heureux qu’il porte mon nom. Il est vif comme sa feu arrière-grand-mère Juliette... Non... comme son arrière-grand-mère Maggie ? Non... Wait, Samuel c’est le petit-fils de Claude ? de Scott ?
Damn ma mémoire me joue encore d’horribles tours... Ah mes chers enfants, si je ne les avais pas eus je ne sais pas ce que j’aurais fait. La vie m’aura réservé bien des épreuves...
Je me rappelle la fois où je suis allé demander ce prêt à Lyon. Le banquier était gentil comme tout. S’il avait su le cadeau empoisonné qu’il me faisait en me donnant cet argent... Moins d’un an plus tard,
la Compagnie des mines de la Loire faisait ce qu’elle voulait avec le prix du charbon. Je n’arrivais plus à produire. J’ai bien cru que c’était terminé... Et puis l’État français est intervenu et les prix ont baissé. Drôle d'histoire d’amour
que j’entretiens avec la France ! Il m'aura fallu 40 ans pour maîtriser cette langue capricieuse. Et me voilà de retour en Angleterre... Non... Je n’ai pas pris de bateau... Je suis en France ? Et qui est ce petit garçon qui court partout ?
Merci d'avoir écouté Samuel
My god, ce bateau me fait un terrible seasick... Quand la Manche est colère, ce n’est pas un blague. Tout ça pour visiter un client... Well, pas que... Quand je pense, j’ai vraiment eu chance.
Heureusement que ce petite banquier lyonnais supportait pas les étrangers, sinon il aurait prêté ce argent... Moins de un an après ma refusée demande de prêt...
Bim, la Compagnie des mines de la Loire rachetait chaque puits et à cause de le monopole, le prix du charbon volait ! Impossible de rester avec ce type de coûts et un nouvel investissement sur les mains.
Je admets que le père de Juliette avait juste. C’est lui qui conseilla à moi de vendre la aciérie. And here we are Scott et moi, négociants, attendant que les deux autres fils à moi achèvent leur internat. Il a le acuité des affaires mon Scott !
Ensemble, nous vendons des faux dans France, Russie et dans Grande-Bretagne of course. Et j’ai à dire que je suis très heureux parce que grâce à ça, je vais voir ma tendre Ann à nouveau. Je ne peux pas attendre !
Sa dernière lettre annonçait une excellent nouvelle : je suis un grand-père ! So, un petit-fils vaut bien un terrible seasick !
Merci d'avoir écouté Samuel